Il ne reste aujourd’hui que quelques dizaines de sujets, issus de l’augmentation du groupe de chiens de départ.
Pour développer son petit cheptel sans avoir recours aux croisements, la Société du berger de Savoie compte sur le nombre de lignées sauvegardées, la cryoconservation par le CERREC de l’École vétérinaire de Lyon, de la semence de ses mâles reproducteurs qu’elle pratique depuis plusieurs années dans le but de réintroduire cette génétique ultérieurement dans la descendance et pallier les risques liés à la consanguinité, ainsi que sur le calcul de la rotation des reproducteurs.